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Era of Anarchy est un rpg humain post-apocalyptique, basé sur un grand nombre de romans à succès. Concept et possibilités de jeu très riches !
 
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 Thomas ► If you ain't scared, you ain't human.

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Thomas

Thomas


Messages : 24
Date d'inscription : 17/10/2014
Citation : « Here we are, don't turn away, now. »
Animal/Objet : //

Thomas ► If you ain't scared, you ain't human.  Empty
MessageSujet: Thomas ► If you ain't scared, you ain't human.    Thomas ► If you ain't scared, you ain't human.  Icon_minitimeMar 11 Nov - 6:29





Thomas.

« If you ain't scared, you ain't human. » ▽ The Maze Runner.
Informations.
Prénom : Thomas.
Surnom : Tom - Tommy.
Âge : 20 ans.
Sexe : ♂
Clan : Lupus.
Rang : Bêta.
Objet personnel/Animal de compagnie : Thomas ne possède aucun objet personnel, juste un tas de souvenirs.  
Vision sur la religion : Comme les Lupus, il croie en Dieu.
Histoire.


Je ne sais pas si c'est les bâtiments terrassés par la guerre qui inspiraient ce trouble aux gens. Ou bien c'est juste l'odeur âcre du sang et de la fumée qui avait depuis longtemps envahit l'air? Je les deux à mon avis. Les hommes, habitués au confort et à la richesse n'existaient plus. Tout ici rappelait la peur et le trouble. Les ruines des immeubles qui avaient autrefois apporté un refuge étaient sales et tâchés de rouge. Ce motif écarlate ornait quasiment tout ce qui pouvait se glisser dans le regard. Plus rien ne rappelle la paix et la tranquillité. De plus aujourd'hui nous sommes en 2040. L’électricité, cette source de puissance, a été coupée. Le monde fut plongé dans le noir. Si j'en croit les récits, cette fameuse électricité servait pour éclairer, c'était également une source d'énergie. Mais maintenant qu'elle n'est plus, la noirceur avait tout envahit. Comme avide de pouvoir, l'obscurité voulait se glisser partout. Tout est devenu noir. Noir comme le voile qui planait sur la vie ces temps là. C'est en cette année que je suis né. Je suis né dans les ténèbres, dans un endroit sombre. Je ne m'en rappelle plus. En fait, c'est juste que j'essaye d'oublier. D'oublier ce qu'a été le fait d'avoir une famille. Mais c'est aussi par ces temps qu'on été crée les clans. Ces groupes de gens, qui vivent selon le Code. Ecrit deux ans après la fondation des Clans. Et moi au milieu de tout cela, ces troubles permanents. Je suis dans le Clan des Lupus. Nous vivons comme une meute de loups. Des loups, ces animaux qui vivent selon leurs règles, ces êtres forts et imposants. C'est ce que nous sommes en quelque sorte. Mais maintenant, le lus important c'est de survire. Vous savez-vous ce que c'est survivre? C'est vivre dans la peur permanente de mourir, c'est s'accrocher à la vie de toutes ses forces, quitte à souffrir. Survivre c'est encore pire que mourir je trouve. Mais je n'ai pas le droit de dire ça, parce que c'est ce que je fais. C'est ce que nous faisons tous. Nous essayons de survivre. Je n'ai plus beaucoup de souvenir. Et je ne veux pas me rappeler, de toute façon, le passé ne reviendras plus. Ce qui compte c'est le présent et le futur. Sauf quand la tâche est trop foncée, sauf quand il est impossible d'oublier ce certains ont fait. Maintenant je vais vous parler de moi. Moi c'est Thomas, j'ai 20 ans, mais à l'époque de ma souffrance, je n'en avais que 13. Maintenant, je dois vous raconté ce qui est arrivé. J'ai l'impression que ma vie est un labyrinthe, étroit ans lequel je serais toujours piégé. Mais il y a toujours une sortie. Je l'ai compris et je l'ai trouvée, la sortie. Donc, je reprends, j'étais jeune quand ils m'ont trahis. Mon père était Bêta, Bêta est un rôle important. Moi, j'avais 13 ans, j'ai suivis une formation de subalterne pendant un an, donc les faits se sont passé quand j'avais 14 ans. Quand je pense qu'à une époque j'étais fier de lui, de ce type qui est mon père. Maintenant tout en lui me dégoûte. Il a trahis le Clan. Il m'a trahis. Il m'a laissé, en fait, il n'a même pas fait attention à moi. Et ma mère? Elle l'a suivis. Ils ont rejoint les Anarchistes. Ces gens sans fois ni lois, sans territoire fixe. Et qu'est-ce que vous ressentirez-vous à ma place? Quand le sentiment d'être inutile au point que même vos parents se fichent de vous vous tord l'estomac et quand la colère vient envahir le peu de raison qu'il vous reste? J'ai essayer d'oublier, j'ai lutté pour tous les oublier. Je me suis dis que la meilleure façon de vivre c'est d'effacer à jamais tous les souvenirs que j'ai. Mais j'avais tors. Parce que je n'ai jamais réussi à ne plus me souvenir. Je leur en est toujours voulu de m'avoir abandonné. Mais au moins une personne était là. Ça je ne l'ai pas oublié. Et n'oublierais surement jamais. Phobos, l'Alpha du Clan. Il m'a élevé. Mais ce qui est le plus important encore, c'est qu'à mon passage de grade, à 18 ans, il m'a nommé Bêta. Je ne sais pas pourquoi, je ne saurais probablement jamais. Phobos n'avais pas choisis de Bêta après la trahison de mon père, ça m'avait surpris mais j'avais vite oublié ce fait. J'ai été troublé, j'étais si jeune après tout. Il n'avait aucune raison particulière de me choisir. C'est vrai que mes camarades m’appréciaient, je'aimais bien plaisanter et rire, enfin vivre comme une personne normale de 20 ans. Mais c'est quand je pense à ça que je me dis que plus rien ne sera jamais normal. Quand même, moi Bêta c'était la chose que j'attendais le moins! Toutefois, j'étais fier de mon nouveau rang, mais aussi tendu. Je devais conseillé Phobos, et le succéder à sa mort si il ne se fait pas détrôner avant. Bon de toute façon il ne va pas mourir de si tôt, heureusement. Bon, tout ça pour dire que maintenant, ma vie ne me semble plus aussi minable. Au moins je sais que j'ai réussi à accomplir un truc dans se monde. D'ailleurs être Bêta me fait aussi prendre une revanche personnelle sur mon père, je suis sur qu'il ne m'aurais jamais cru capable d'occuper un tel rang. Je vous l'avais dis, on trouve toujours une sortie. Quoi qu'il arrive, il y aura toujours une lueur d'espoir qui brillera.
Efforce toi de survivre. Efforce toi de continuer à aller vers la sortie. Because the exit exists.
Physique.
Mon physique? Mmmm, que dire, que dire, que dire, il paraît que j'ai du charme, mais je ne me suis jamais vraiment soucier de mon apparence. J'ai une silhouette plutôt fine, enfin je suis pas une masse de muscles vivante, j'en ai, mais pas énormément. Je dois faire environ 179 centimètres. J'ai des jambes plutôt longues, ce qui me permet de courir très vite. J'aime courir, ça me permet de me libérer. Quand à mes yeux, ils sont marrons. D'un brun foncé, j'ai un regard profond, dans lequel ont peut facilement lire, dans lequel est concentré mon passé douloureux, et un futur vers lequel je m’efforce d'aller. Le plus souvent, mon visage exprime de l'autorité ou de l'amusement, selon la situation à laquelle je suis confronté, mais j'essaye de maîtriser mes traits, et canaliser ma colère ou ma peur, quand elle est présente. Mes cheveux, ils sont marrons eux aussi et plutôt foncés. Mon nez, lui, est assez pointu, légèrement relevé. J'ai quelques grains de beauté, concentrés plutôt sur le côté droit de mon visage. Quand a mon état de santé, je n'ai pas de maladie génétique, ni d'asthme. Je n'ai jamais été sévèrement malade, seulement des rhumes passagers.
Psychologie.


Je suis moi. Juste moi. J'ai mes qualités, mes défauts. En fait, j'aimerais me dire que je suis normal. Que je n'ai aucun problème. Mais je sais que ça ne restera qu'un rêve. Parce qu'au fond, nous avons tous souffert. De choses bien insignifiantes, ou bien d'autres plus grandes. Je voudrais savoir que ce n'est qu’éphémère, que ça finira par passer. Que c'est un cauchemar du quel je me réveillerais. Mais c'est faux. Comme les cauchemars, la souffrance emprisonne l'esprit et sème la peur et le trouble. Et comme les cauchemar, on arrive pas à oublier. Quand je pense à ça, j'essaye de me dire, de me battre. D'oublier. Mais à chaque fois c'est pareil... Je n'y arrive pas. Imaginez ce qu'on ressent quand on est abandonné. On se sent inutile, et puis après on se demande, pourquoi? Je me suis toujours demandé pourquoi. Et jamais eu de réponse. Qu'est-ce qui ne vas pas chez moi? M'ont-ils oublié? Qu'est-ce que je vais faire? Comment je vais survivre?... Et tout un tas de questions du genre. Pendant longtemps, chaque nuit, elles envahissaient mon esprit. Il y en avait trop de questions, et pas assez de réponses. Mes parents m'ont abandonné, pour rejoindre les Anarchistes, et moi, il ne m'en ont jamais parlé, logiquement. Ils m'ont laissé, jeter comme une vieille chaussette. Comment ont-ils pus? Je ne veux plus y penser. Je veux juste oublier. C'est pour ça que chaque jours, chaque seconde de ma misérable vie j'essaye d'attirer l'attention, mais pas pour me rendre intéressant, je veux que des gens tiennent à moi... Je veux que, si je disparais un jour, des personnes me remarquant. Alors souvent, je sors des blagues, j'ironise. Mais c'est aussi chez moi une façon naturelle de m'exprimer, ironiser. J'aime faire ça. J'aime rire, me sentir proche de mes camarades. Mais j'ai aussi un besoin naturel de les surpassé. Je sais pas pourquoi, mais je veux être le meilleur, ça doit être à cause du fait que je me suis senti inutile. Maintenant, en tant que Bêta, ma mission est en partie accomplie. Alors quand on a besoin de moi, je me montre sérieux autoritaire, mais avec mes amis, c'est différent. Là je peux enfin leur montrer qui je suis. Il n'y qu'une chose que je garde pour moi: ma souffrance. Quand mes parents m'ont laissé tombé, je n'ai montré à personne que ça m'avait beaucoup troublé. J'ai essayer de faire comme si de rien était, j'ai essayer de montrer que j'étais en colère mais rien de plus. Mais chaque nuit, je repense à toutes les choses qu'on a pu faire ensemble moi et eux, et là je me sens vide. Comme si une partie de moi était morte. Alors je pleure, je me vide. C'est dur. Quand j'étais plus jeune, j'avais même envie de mourir. Juste mourir. Mais j'ai vite réaliser que ce n'était pas une solution. Vouloir mourir c'est être faible et ne pas pouvoir assumer, c'est fuir. Maintenant, je me force de ne plus penser à ce que j'ai perdu. Parce qu'au tour de moi j'ai mon Clan, c'est ce qui compte plus que tout. Il y a juste un truc que j'aime pas dans le Clan: c'est les enfants. Je sais qu'on a besoin et qu'après ils deviennent grands et tout, mais je peux pas supporter leur caprices. Et parfois je peux me montrer méchant... Je peux rien y faire. Ce que j'adore, c'est simple: courir. Ça me permet de me libérer, se sentir léger, se sentir libre, ce sont les sensations que me procure le fait de courir. En matière de nourriture, j'aime bien les trucs salés, le gibier et tout, mais ce que je préfère c'est le sucré. Le chocolat par exemple, j'en ai pas mangé souvent, mais c'est délicieux! Tout ça pour dire qu'au fond je suis plutôt normal niveau goûts. Mais que niveau goûts...
Links.
Phobos: Père adoptif.
Diane: Amie éloignée.
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RPs.

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